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KANLENTO-AVULETE "vaillant combattant, nous devons lutter"
29 janvier 2009

SOURCE http://www.ucdp-info.com/presses_mugabe.htm

Du harcèlement britannique sur le Zimbabwe: manipulation/sous- table/corruption/mensonges/ intoxication pour abattre Robert Mugabe pour qu’après l’indépendance reste= avant l’indépendance!

Apellons à soutenir le soldat du peuple Bob Mugabe !

Après avoir assisté à l’exhibition de la machination programmée par la Grande Bretagne pour la descente aux enfers du Président du Zimbabwe Robert Mugabe, victime avérée de l’ostracisme colonialiste et des mesures de rétorsion injuste néocolonialiste pour affamer délibérément le peuple Zimbabwéen, en engageant des actions de sabotage pour détruire délibérément son économie, en opposant les zimbabwéens entre eux pour installer le chaos,

Après avoir assisté à la ruée médiatique ’’occidentale’’ pour ne pas dire des blancs mobilisés et caporalisés pour la chasse à courre contre le’’negro’’ qui a osé tenir tête à la majesté des blancs (étant donnée que ces derniers se masquent derrière certains ’’negroes’’ de service comme porte parole et caisses de résonnance pour vouer aux gémonies et condamner sans appel Robert Mugabe ni vu ni connu), et lorsqu’ils organisent pseudo-journalistes, une meute parmi les plus racistes, à la Conférence de l’Union Africaine en Egypte, en vue d’humilier le Président Zimbabwéen, de faire peur et d’intimider les dirigeants africains afin de les forcer à isoler et à condamner l’un d’entre eux, Robert Mugabe,

Après avoir assisté à l’étalage de l’hypocrisie et de la malveillance lorsque la Grande Bretagne évoque la ’’démocratie’’ comme motif factice de son acharnement contre Robert Mugabe et se mue en donneur de leçon sur cette question alors que ses dirigeants soutiennent le plus grand dictateur sanguinaire du continent africain qu’ils ont armé contre la RDCongo, Paul Kagame, le président du Ruanda responsable de la mort de plus de 5 millions des congolais, dont la Grande Bretagne de Tony Blair et les USA de Bill Clinton, son allié, portent la responsabilité criminelle en tant que commanditaires de l’agression du Ruanda- Ouganda- Burundi contre la RDCongo,

Après avoir assisté à la démonstration de la capacité d’intoxication et de manipulation de la Grande Bretagne qui entraîne dans sa dérive injuste empreinte du colonialisme pur jus, les vraies démocraties occidentales comme la France, les USA, l’Italie, l’Allemagne… qui sont des républiques : la problématique consistant à dénier la réalité de la véritable démocratie dans une monarchie à l’instar de la monarchie britannique où l’anglais lui–même est traité de sujet appartenant à un individu ou une famille qui mène la belle vie à ses dépens,

L’Union de Congolais pour la Défense de la Patrie et du Peuple UCDP, force politique de rappel à l’ordre et de proposition, a conclu que le Zimbabwe, par ricochet, son président Robert Mugabe est victime de l'enchevêtrement des enjeux malveillants pilotés par la Grande Bretagne au gré de ses intérêts néocolonialistes; en effet:

1. La Grande Bretagne porte la lourde responsabilité de la déstabilisation structurelle délibérée de ce pays et des conséquences humanitaires que nous observons dans cette sous- région de l’Afrique ! A l'origine, étant donné que la réforme agraire initiée par Robert Mugabe touchait les blancs zimbabwéens ’’propriétaires’’ des terres selon la loi d’occupation coloniale et que, par ce fait, la nouvelle loi selon laquelle le sol et le sous-sol zimbabwéen devrait revenir au peuple zimbabwéen, donc à l’Etat, expropriait les blancs des immenses terrains souvent inutilisés, la crise d’intérêt était ouverte entre ces deux pays!

Pour la Grande Bretagne: «Avant l’indépendance était=après l’indépendance », par conséquent, le peuple zimbabwéen doit rester soumis aux règles du joug colonialiste anglais en dépit de la proclamation de l’indépendance!

2. La Grande Bretagne manipule visiblement l'opinion internationale, en général, et africaine, en particulier, pour soutenir son apologie de l'injustice contre le peuple africain en général et zimbabwéen en particulier! En focalisant  ses attaques sur le président Robert Mugabe, héros de l'indépendance, en le vouant délibérément aux gémonies sur fond de racisme primaire et de la vengeance pour des intérêts foirés par l’intervention du Zimbabwe en vue d’apporter le soutien à Laurent Désiré Kabila (victime de l’acharnement néocolonial) contre l’agression ruando-ougandaise en RDCongo qu’elle a commanditée pour le plan funeste de partition de la RDCongo, la Grande Bretagne qui n’avait pas toléré cette ’’intrusion inopportune’’ du Zimbabwe avec l’Angola, est entrain de baver son fiel cynique en le crachant sur Robert Mugabe!nous publions ci-après la première partie du texte de l’entretien entre Anna Gillberg et Jean Kalama-Ilunga, Coordonnateur de l’Union de Congolais pour la Défense de la Patrie et du Peuple UCDP, publié dans deboutcongolais.info en 2004. Dans cet entretien, Jean Kalama-Ilunga avait tiré la sonnette d’alarme sur les manœuvres néocoloniales et appelé au soutien à Robert Mugabe, victime de l’ostracisme néocolonial Britannique et stigmatisé la lâcheté des chefs d’Etat Africains qui n’osaient pas lever le petit doigt pour soutenir leur confrère martyrisé par l’ancien colonisateur; il avait parlé de l’OUA, de l’Union Africaine et du Nepad! Quelques années avant, sur la question,, Jean Kalama-Ilunga avait adressé une lettre au 1er Ministre Britannique Tony Blair stigmatisant son attitude paradoxale de soutien au terrorisme d’Etat de Museveni et Kagame en RDCongo et son ascendance avérée sur ces personnages qu’ils avaient invités à Londres pour les réconcilier afin de continuer à déstabiliser notre pays pendant qu’au même moment, il proclamait dans le monde entier son engagement à la lutte contre le terrorisme ! Lisez ce qui suit :

Madame Anna Gillberg est écrivain, journaliste et collaboratrice dans certains magazines et quotidiens des pays scandinaves ! Elle a eu un entretien avec Monsieur Jean Kalama- Ilunga collaborateur du Bureau d’Etudes pour Congo (BEC).

Anna GILLBERG: Précédemment, vous avez fait un réquisitoire accablant sur la réalité du monde qui présente un monde incertain, un monde à très haut risque, un monde en danger par la volonté de quelques individus ! Paradoxalement, vous avez affiché un certain optimisme pour l’avenir de l’Afrique, ce continent délaissé si je peux me permettre de le dire ! Qu’est-ce qui motive votre optimisme au moment où le continent Africain, principalement la partie sub-saharienne, est virtuellement condamnée et présentée comme le poids mort de l’économie mondiale ?

A. GILLBERG : Pouvez-vous être plus explicite ?

A.GILLBERG: Pouvez-vous donner quelques exemples concrets ?

A. GILLBERG : Le paradoxe est que ces pays dits prêteurs comme vous le dites, sont les plus endettés de la planète ! Peut-être faudra-t-il crouler sous les dettes pour être considéré comme un pays riche ? On en parlera si on a le temps !

A. GILLBERG : Vous ne voulez pas vous contenter de désigner les autres comme seuls responsables de la déchéance du continent Africain ! Qu’est-ce qui a fait qualitativement défaut aux Africains principalement aux dirigeants Africains pour sortir l’Afrique du gouffre ?

A. GILLBERG : La nouvelle organisation comme l’Union Africaine peut-elle être plus efficace?

A. GILLBERG : Et le N.E.P.A.D. ?

  • Quelle finalité de référence pour les peuples d’Afrique ?
  • Ou quelles représentations des futurs possibles pour les Africains ?
  • Comment mobiliser les ressources du continent africain pour l’Afrique?
  • Autour de quels projets crédibles ?

Il est illusoire d’espérer une application locale ou sectorielle des solutions si elles n’ont pas été élaborées dans une optique globale de résolution des problèmes fondamentaux effectifs sur le continent africain !
Mettre la charrue avant le bœuf, c’est à peu près cela le N.E.P.A.D. !
De mon point de vue, c’est un projet sans lendemain qui, au mieux, ne sert que de marche pied à la quête de prestige de ses initiateurs !

AGILLBERG : Au regard de cette description sombre de la situation, êtes-vous d’avis que les peuples d’Afrique trouveront les moyens de s’approprier un jour de leur destin ?


Jean KALAMA : Sans aucun doute ! Mais en attendant, l’état des lieux montre qu’il n’y a pas de volonté réelle dans le monde, hormis quelques voix qui se lèvent par ci par là, pour que les peuples d’Afrique deviennent maîtres de leur destin !
Notez toutefois que des artifices cyniques sont placées partout pour empêcher cela de telle sorte que la pauvreté et l’incapacité d’organiser la société restent une fatalité naturelle voire une sorte de malédiction pour l’Africain ! Il faut qu’il se résigne à rester pauvre, à être exploité, à ne pas avoir des droits ! La fourberie de nombreux dirigeants africains ont détourné les peuples de la lutte pour l’appropriation de leur destin !
De toute manière, les dirigeants qui ont osé marcher à contre courant de ces règles ont été ou diabolisés à outrance, ou accusés des crimes qu’ils n’ont pas commis, souvent assassinés et les exemples sont légion !
A ce sujet, Stephen Smith lève le voile dans son livre ‘’ négrologie’’ sur les problèmes de fond qui se posent en Afrique, il dit entre autre: « … ne pas dire la vérité aux Africains, c’est les assassiner»!
Mais malheureusement, le mensonge trône en maître absolu sur ce continent où l’amalgame et la confusion entre le fond et la forme, la cause et l'effet, le structurel et le conjoncturel sont délibérément entretenus comme nourriture roborative du chaos prévisible et susceptible d’être déclenché à tout moment voire comme barrière à tout accès à la vérité !
Les germes des conflits futurs sont en gestation au cœur des différents pouvoirs africains parce qu’en réalité, les dirigeants Africains se complaisent dans l’erreur stratégique et tactique de fonder et de croire consolider leur pouvoir par leur dépendance et soumission aux puissances étrangères en lieu et place de leurs peuples respectifs ainsi qu’en s’accrochant aux facteurs du débat de société de nature conflictuelle à savoir le tribalisme, le racisme, la religion… en lieu et place des facteurs du débat politique qui caractérisent l’intérêt général à savoir le débat d’idées pour apporter le bien –être à nos concitoyens !
La quête abusive du pouvoir pour le pouvoir, du pouvoir pour dominer ses compatriotes, du pouvoir comme occasion d’ascension sociale et de rapine, du pouvoir pour tuer, du pouvoir pour être au dessus de la loi, a plongé l’Afrique dans une situation sans dessus dessous !
En tout cas, là où le bât blesse, c’est lorsque la communauté internationale cautionne le recours aux armes comme source de légitimation au pouvoir avec en prime l’impunité !
Le parcours historique de la République Démocratique du Congo démontre la flagrance et la permanence de cette volonté cynique qui refuse aux peuples Africains de devenir maîtres de leur destin : Depuis le 17 Mai 1997, on a assisté à un défilé de tous les ingrédients de la manipulation évoqués précédemment pour l’Afrique se constituer en barrière pour étouffer dans l’œuf toute velléité d’organisation de la société congolaise et pour la tirer vers le bas : L’agression, la pseudo- rébellion, les pillages, les assassinats, les massacres…etc

Jean KALAMA : Les vraies questions qu’il convient de poser, sont :

Jean KALAMA : L’Union Africaine en tant qu’organisation des peuples Africains telle que le Président de Lybie Mouammar Kadhafi l’avait initiée pour remplacer l’inefficace O.U.A., pouvait être plus efficace !
Malheureusement, cette nouvelle organisation a été noyautée et vidée, dès sa mise en place, de son contenu révolutionnaire qui devait la différencier de l’O.U.A. qui était une sorte de syndicat pourvoyeur d’immunité aux Chefs d’Etats Africains!
Tant que les peuples Africains ne joueront pas un rôle déterminant dans les mécanismes fonctionnels de l’Union Africaine et qu’ils seront délibérément éloignés du centre des décisions de cette organisation, celle-ci ne peut pas être différente de l’O.U.A. !

Jean KALAMA : Après plus ou moins un demi siècle de souveraineté internationale, une grande partie de dirigeants Africains restent incapables d’adhérer à une position commune sur les questions fondamentales et stratégiques du continent Africain sans l’autorisation préalable de leurs parrains respectifs à qui ils ont l’obligation de rendre compte pour être soutenu au pouvoir!
A ce titre, sans autre ambition au delà de leur petit confort, ils sont incapables de lever le petit doigt, par lâcheté, pour ne fût- ce que soutenir leurs collègues victimes d’ostracisme et de mesures de rétorsions injustes à l’instar du Président du Zimbabwe, Robert Mugabe, victime des mesures de rétorsions néocoloniales, pourquoi pas racistes ?
 Quel regard portez- vous sur la croissance explosive des demandes sociales sur l’ensemble du continent Africain en l’occurrence la demande de nourriture, de santé, d’enseignement et d’autres biens sociaux ?
Jean KALAMA : Sur cette question, il est évident que les mécanismes sociaux, politiques, et institutionnels existants au niveau de différents pays africains comme au niveau international, se sont révélés incapables d’apporter des solutions adéquates durables !
Certes, la récurrence des désastres naturels et des conflits armés servent souvent d’alibi pour justifier le marasme social insupportable qui fragilise encore plus le continent Africain !
Cependant, je ne suis pas disposé à me laisser tenter par la facilité qui se limite à désigner les autres pour responsables de notre déchéance!
Pour la simple raison que le social concerne nos vies, au premier chef, je considère qu’il nous revient d’élaborer des solutions appropriées à notre mode de vie en vue d’améliorer la qualité de vie au quotidien de nos compatriotes. Personne ne pourra le faire à notre place !
En tout état de cause, pour trouver les réponses appropriées aux demandes sociales sur le continent Africain, la clef se trouve dans la qualité des facteurs organisationnel et humain qui nécessitent une formation permanente!

Jean KALAMA : Après la décolonisation, sur le plan économique international, en ce qui concerne le financement des projets dans nos pays, l’enjeu était juste limité à la réalisation des projets à la fois structurant et qui assuraient le contrôle du système.
A cet égard, peu importaient les motivations humanitaires ou économiques parce que l’essentiel était d’arriver à amener nos pays à demander ce qu’ils n’auraient pas désirés seuls, étant donné que nous étions dans une période où l’influence directe néocoloniale ne pouvait passer sans s’attirer l’opprobre des opinions publiques!
Pour contourner cet handicap, les fameux pays dits prêteurs ont trouvé la solution grâce aux intermédiaires que sont les institutions internationales de financement dites institutions de Bretton Wood à savoir la Banque mondiale, le Fonds monétaire international (FMI) qu’ils contrôlent grâce aux procédures de désignation de leurs dirigeants !
En effet, par cette astuce, ils pouvaient justifier, dans la majorité des cas, des décisions déjà prises pour d’autres raisons que le seul calcul de rentabilité !
Je veux dire en d’autres termes que c’est pour d’autres raisons que l’orthodoxie financière que la plupart de pays Africains et en voie de développement ont subi et continuent à subir des mesures de rétorsion injustes de ces institutions de financement contrôlées en sous main par les pays dits prêteurs qui restent maîtres du jeu sans subir l’opprobre et conservent tous les atouts leur permettant à tout moment de tirer le continent Africain et les pays en développement vers le bas.
De la même manière, le système politique pervers soutenu par les industries militaro- financières qui a consisté et qui consiste à vendre des armes de guerre et à opposer les gens pour qu’ils s’affrontent en finançant par exemple des pseudo rebellions en vue d’accroître les besoins en armements !
Cette croissance du commerce des armes de guerre n’a-t-elle pas non seulement mis délibérément le continent à feu et à sang, mais contribué à détourner les ressources qui auraient pu être affectées aux activités économiquement et socialement plus productives ? C’est bien dommage que nombreux Africains en quête de pouvoir n’aient pas saisi cet aspect du problème!

Jean KALAMA : Oui, bien sûr ! Si le monde va mal, c’est essentiellement parce que des contradictions de toutes sortes sont entretenues pour atteindre des objectifs en conflits d’intérêts entre quelques groupes d’individus qui s’autorisent, pour cela, l’usage illicite des moyens d’Etat !
Au demeurant, il faut ajouter que le renforcement de l’interdépendance consécutive à la mondialisation a engendré un environnement économique qui a transmis partout des perturbations et grossi des bouleversements!Vous n’êtes pas sans savoir que les avancées technologiques ont contribué et contribue aussi à accroître l’incertitude!
La réalité du monde qui va mal et la situation désastreuse en Afrique sont indissociables. En effet, depuis la fin de la 2ème guerre mondiale, l’Afrique n’a été qu’un champ de bataille par procuration, elle n’a servi que de pourvoyeuse à bon marché des matières premières et d’exutoire des pulsions belliqueuses des protagonistes de la guerre froide ! Nous pouvons, à juste titre, conclure que c’est délibérément que l’Afrique est figée dans une situation de non développement parce que, si sur la forme, un effort de changement était perceptible par la manière de faire, sur le fond, rien n’a bougé!

Jean KALAMA : D’entrée de jeu, je confirme cette réalité qualitative du monde et, en ce qui concerne le continent africain, c’est l’avenir effectivement qui est la principale motivation à la base de mon optimisme bien que les Africains soient condamnés à un grand effort d’invention et de prise de risque pour s’en sortir! je me permets de vous assurer que le jugement négatif sur l’Afrique procède plus des idées reçues que de la réalité!
(déclaration en 2004)
Un simple regard rétrospectif nous révèle, par ailleurs, que, hormis leur appartenance géographique commune au continent Africain, les intérêts divergents et étrangers à l’Afrique opposent et séparent sur le fond les pays qui en font partie en dépit des bonnes intentions hypocrites souvent exprimées lors de grandes rencontres à savoir les intérêts économiques, culturels, linguistiques, religieux, politiques…Cela peut expliquer l’inefficacité et l’échec de l’Organisation de l’Unité Africaine OUA dus en partie à cet état de fait !
»

Info UCDP

Info UCDP dénonce et fustige l’intoxication médiatique injuste organisée par la Grande Bretagne contre les peuples d’Afrique et le peuple Zimbabwéen en particulier!

Pour corroborer la colère légitime de la majorité d’africains contre les manœuvres cyniques du système monarchique britannique néocolonialiste,

En 2004

Entretien de Anna Gillberg avec Jean Kalama-Ilunga

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